"Il va aussi bien que possible. Sa maladie est un peu comme une vague qui monte. Il y a parfois un calme plat mais elle ne recule jamais", a-t-il confié Jean-Louis Debré.
Avant d'ajouter: "Je sais qu'il a de la peine", il pense que son ami est conscient de son état.
"Quand je le vois, il est heureux de me voir. Il me reconnait", a-t-il poursuivi.
Et de conclure: "Chirac n’a jamais été quelqu’un qui extériorise ses sentiments, mais moi qui le connais bien, quand je le regarde, quand je lis dans ses yeux, je vois qu’il souffre et je sais qu’il a de la peine".
Rappelons qu'en 2005, Jacques Chirac avait été victime d'un accident vasculaire cérébral (AVC), qui l'avait fortement affaibli.
Depuis le mois de décembre, date de sa dernière hospitalisation, l'ancien Président français souffre de pertes de mémoire. "Il état plus fatigué [que d’habitude] et les spécialistes voulaient en savoir plus. Maintenant il est rentré, nous avons fêté Noël ensemble, en famille, le jour de l’an également", avait tenté de rassurer Bernadette Chirac à l'époque.
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