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Alors que la parole des victimes de harcèlement ou d'agressions sexuelles tend à se libérer, la cellule d'écoute Thémis mise en place par l'armée accompagne juridiquement les victimes militaires.
À l'occasion de la journée de lutte contre les violences faites aux femmes, le président Macron doit annoncer une série de mesures samedi. En France, il existe déjà des cellules faites pour libérer la parole des victimes.
L'armée, qui se veut exemplaire en la matière, a mis en place une telle structure, encore peu connue du grand public. Pour contacter la cellule Thémis, il n'est pas nécessaire de passer par la hiérarchie militaire, que l'on soit victime ou témoin. Ils peuvent appeler anonymement. Et ce dispositif fonctionne : chaque mois, sept nouveaux dossiers arrivent à la cellule. Ils dénoncent des faits de violences, discriminations, homophobie, harcèlement ou encore chantage sexuel.
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